POURQUOI ISRAËL EST DESTINÉ À L’ÉCHEC À GAZA ?

Dans l’arène chaotique de la guerre moderne, où l’impérialisme, tel un géant chancelant, rassemble ses dernières forces dans un dernier souffle désespéré, nous assistons à un conflit qui transcende la simple querelle territoriale. Après s’être fait rosser en Ukraine, l’impérialisme américain, dans une tentative pathétique de polir son blason terni, se jette sur Gaza, brandissant Israël comme une épée de Damoclès. Les munitions, essentiellement américaines, et les instructeurs, sont les marionnettes de cette influence écrasante. L’aide militaire, démesurément abondante, fait pâlir celle octroyée à l’Ukraine, dévoilant une stratégie impérialiste sans vergogne.

Tels des acteurs répétant un scénario éculé dans les jungles du Vietnam, les États-Unis déploient leur arsenal total, soutenus par une Union européenne exsangue, saignée à blanc par le conflit ukrainien. Cette alliance bancale ressemble à un éléphant blessé s’alliant à un chat pour défier un tigre résilient et indomptable.

Ce tigre, Gaza, tient bon malgré deux mois de bombardements incessants. La stratégie impérialiste, rigide et archaïque, vise à déchaîner un déluge de destruction physique et psychologique, exploitant toutes les technologies de guerre à sa portée. Gaza est devenue l’épicentre de cette brutalité, un spectacle déjà vu au Vietnam, en Irak, en Libye. La guerre y est grotesquement asymétrique, presque un avion contre un combattant.

Les soldats de l’infanterie israélienne, hésitants à s’engager directement, se réfugient derrière l’artillerie lourde et des bombardements presque comiques dans leur inefficacité. Après avoir réduit tout en cendres, bombarder des ruines devient un exercice futile. Ils lancent des missiles balistiques, déploient des drones et des avions bombardiers sans pilotes, ainsi que des robots guidés par l’intelligence artificielle, dans une lâche tentative d’infliger des dégâts à distance.

Pourtant, dans une guerre, il faut finalement affronter l’ennemi face à face, une vérité que les impérialistes connaissent mais refusent d’accepter. Ils ne peuvent plus compter sur les soldats de Daesh et les prisonniers du Proche-Orient, drogués et payés comme en Libye, pour servir de chair à canon. Cette incapacité est le fruit de leur défaite humiliante en Syrie et du réveil des peuples arabes, qui ne tombent plus dans leurs pièges, exacerbée par l’avènement du web 3.0 et des réseaux sociaux qui contrecarrent les propagandistes traditionnels ainsi que par l’éloignement des dirigeants arabes déçus par l’Occident. Les impérialistes n’ont plus le flot de mercenaires qui se comptaient par centaines de milliers, exterminés en Syrie et en Ukraine, bien que beaucoup aient rejoint Tsahal.

Cette situation révèle une vérité amère : la guerre moderne ne se gagne pas seulement avec des armes et des tactiques, mais nécessite une compréhension profonde des dynamiques humaines et politiques. La résistance de Gaza, face à cette démonstration de force, est un témoignage éloquent de la détermination et de la résilience d’un peuple. Malgré la disproportion écrasante des moyens, les Palestiniens continuent de défendre leur terre avec une bravoure qui défie toute logique militaire conventionnelle. Leur lutte n’est pas seulement pour la survie, mais aussi pour la dignité et l’identité, face à une machine de guerre impitoyable.

Cette guerre, avec ses bombardements incessants et ses stratégies de terre brûlée, a également révélé les limites de l’approche militaire impérialiste. La destruction aveugle ne mène pas à la victoire, mais plutôt à un enracinement plus profond de la résistance. Les leçons de l’histoire sont claires : les peuples opprimés, lorsqu’ils sont poussés à bout, peuvent se révéler être des adversaires redoutables, peu importe la supériorité technologique de l’ennemi.

La barbarie inégalée des impérialistes, divulguée comme jamais auparavant grâce aux réseaux sociaux comme Twitter et aux VPN pour contrer la censure, montre au monde entier les meurtres et dégâts sur les civils en temps réel. Malgré cela, les impérialistes redoublent de barbarie et agissent à visage découvert, sans voiler leur œuvre de mensonges. Leur volonté de nettoyage ethnique montre qu’ils jouent leur dernier atout, leur sprint final avant leur effondrement. On peut dire qu’ils ont utilisé tous les moyens, allant même jusqu’à employer les méthodes des bataillons de barrage du NKVD pour les soldats qui reculeraient.

Cette guerre à Gaza n’est pas seulement un affrontement militaire, c’est un génocide diffusé en direct, et cette fois, sans attendre la libération par les Russes des camps d’extermination. Nous avons des images en continu, une première depuis la chute de l’Union soviétique. C’est la première fois que la propagande impérialiste se voit contrée par des réseaux sociaux non alignés comme Twitter, et que ces réseaux diffusent en direct les images et vidéos des morts.

L’impérialisme semble jouer son sprint final, et s’il perd, cela signifiera sa fin, du moins dans son état actuel. La barbarie actuelle, les milliards dépensés en propagande, mais freinés par des réseaux sociaux non alignés, montrent au monde son horreur, sa volonté de génocide. Il combat sans masque, et peu importe si tous les peuples le voient désormais à visage découvert, il redouble tout de même de brutalité.

Nous avons un génocide en direct, et cette fois, sans attendre la libération par les Russes des camps d’extermination. Nous avons des images cette fois en continu. L’impérialisme semble jouer son sprint final, et si il perd, cela sera sa fin, du moins dans son état actuel

Dans l’arène chaotique de la guerre moderne, où l’impérialisme, tel un géant chancelant, rassemble ses dernières forces dans un dernier souffle désespéré, nous assistons à un conflit qui transcende la simple querelle territoriale. Après s’être fait rosser en Ukraine, l’impérialisme américain, dans une tentative pathétique de polir son blason terni, se jette sur Gaza, brandissant Israël comme une épée de Damoclès. Les munitions, essentiellement américaines, et les instructeurs, sont les marionnettes de cette influence écrasante. L’aide militaire, démesurément abondante, fait pâlir celle octroyée à l’Ukraine, dévoilant une stratégie impérialiste sans vergogne.

Tels des acteurs répétant un scénario éculé dans les jungles du Vietnam, les États-Unis déploient leur arsenal total, soutenus par une Union européenne exsangue, saignée à blanc par le conflit ukrainien. Cette alliance bancale ressemble à un éléphant blessé s’alliant à un chat pour défier un tigre résilient et indomptable.

Ce tigre, Gaza, tient bon malgré deux mois de bombardements incessants. La stratégie impérialiste, rigide et archaïque, vise à déchaîner un déluge de destruction physique et psychologique, exploitant toutes les technologies de guerre à sa portée. Gaza est devenue l’épicentre de cette brutalité, un spectacle déjà vu au Vietnam, en Irak, en Libye. La guerre y est grotesquement asymétrique, presque un avion contre un combattant.

Les soldats de l’infanterie israélienne, hésitants à s’engager directement, se réfugient derrière l’artillerie lourde et des bombardements presque comiques dans leur inefficacité. Après avoir réduit tout en cendres, bombarder des ruines devient un exercice futile. Ils lancent des missiles balistiques, déploient des drones et des avions bombardiers sans pilotes, ainsi que des robots guidés par l’intelligence artificielle, dans une lâche tentative d’infliger des dégâts à distance.

Pourtant, dans une guerre, il faut finalement affronter l’ennemi face à face, une vérité que les impérialistes connaissent mais refusent d’accepter. Ils ne peuvent plus compter sur les soldats de Daesh et les prisonniers du Proche-Orient, drogués et payés comme en Libye, pour servir de chair à canon. Cette incapacité est le fruit de leur défaite humiliante en Syrie et du réveil des peuples arabes, qui ne tombent plus dans leurs pièges, exacerbée par l’avènement du web 3.0 et des réseaux sociaux qui contrecarrent les propagandistes traditionnels ainsi que par l’éloignement des dirigeants arabes déçus par l’Occident. Les impérialistes n’ont plus le flot de mercenaires qui se comptaient par centaines de milliers, exterminés en Syrie et en Ukraine, bien que beaucoup aient rejoint Tsahal.

Cette situation révèle une vérité amère : la guerre moderne ne se gagne pas seulement avec des armes et des tactiques, mais nécessite une compréhension profonde des dynamiques humaines et politiques. La résistance de Gaza, face à cette démonstration de force, est un témoignage éloquent de la détermination et de la résilience d’un peuple. Malgré la disproportion écrasante des moyens, les Palestiniens continuent de défendre leur terre avec une bravoure qui défie toute logique militaire conventionnelle. Leur lutte n’est pas seulement pour la survie, mais aussi pour la dignité et l’identité, face à une machine de guerre impitoyable.

Cette guerre, avec ses bombardements incessants et ses stratégies de terre brûlée, a également révélé les limites de l’approche militaire impérialiste. La destruction aveugle ne mène pas à la victoire, mais plutôt à un enracinement plus profond de la résistance. Les leçons de l’histoire sont claires : les peuples opprimés, lorsqu’ils sont poussés à bout, peuvent se révéler être des adversaires redoutables, peu importe la supériorité technologique de l’ennemi.

La barbarie inégalée des impérialistes, divulguée comme jamais auparavant grâce aux réseaux sociaux comme Twitter et aux VPN pour contrer la censure, montre au monde entier les meurtres et dégâts sur les civils en temps réel. Malgré cela, les impérialistes redoublent de barbarie et agissent à visage découvert, sans voiler leur œuvre de mensonges. Leur volonté de nettoyage ethnique montre qu’ils jouent leur dernier atout, leur sprint final avant leur effondrement. On peut dire qu’ils ont utilisé tous les moyens, allant même jusqu’à employer les méthodes des bataillons de barrage du NKVD pour les soldats qui reculeraient.

Cette guerre à Gaza n’est pas seulement un affrontement militaire, c’est un génocide diffusé en direct, et cette fois, sans attendre la libération par les Russes des camps d’extermination. Nous avons des images en continu, une première depuis la chute de l’Union soviétique. C’est la première fois que la propagande impérialiste se voit contrée par des réseaux sociaux non alignés comme Twitter, et que ces réseaux diffusent en direct les images et vidéos des morts.

L’impérialisme semble jouer son sprint final, et s’il perd, cela signifiera sa fin, du moins dans son état actuel. La barbarie actuelle, les milliards dépensés en propagande, mais freinés par des réseaux sociaux non alignés, montrent au monde son horreur, sa volonté de génocide. Il combat sans masque, et peu importe si tous les peuples le voient désormais à visage découvert, il redouble tout de même de brutalité.

Nous avons un génocide en direct, et cette fois, sans attendre la libération par les Russes des camps d’extermination. Nous avons des images cette fois en continu. L’impérialisme semble jouer son sprint final, et si il perd, cela sera sa fin, du moins dans son état actuel

 

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